Conclusion :
De la lecture en
italienne, il en ressort une philosophie
entre le corps et l’âme. Mais surtout sur la sagesse des hommes.
Cependant ce qui
pourrait être une philosophie réfléchie n’est en fin de compte qu’une réflexion
opportuniste commander par l’impérativité de décrire la pince à cils. Quoique
nous retrouvons cette philosophie dans l’homme de Vitruve.
Cependant il est
réaliste d’observer que l’âme peu être blessé d’une douleur suprême. Et la
sagesse est forgée par l’expérience.
(Masque
de 1569) - https://fr.pinterest.com
Ce
que l’on dit actuellement de cet
instrument :
Il s’agit d’une supputation n’apportant rien
de spécialement innovant et voir fausse dans la description du mécanisme.
a penna di un
divaricatore a due leve a cui è sovrapposto un abbozzo di griglia rettangolare, che reca nella
suddivisione rettangolare minore: 1/8 nella maggiore : 8/8 più in basso è
disegnata un'intera griglia rettangolare a otto suddivisioni, quattro superiori
e quattro inferiori.
Dessin à la plume d'un
écarteur à deux leviers à laquelle un croquis de la grille rectangulaire est
superposée, qui porte dans la subdivision inférieure rectangulaire: 1/8 plus:
8/8 vers le bas plus est tiré d'une grille rectangulaire entière à huit
subdivisions, quatre supérieure et inférieure de quatre.
Critique
du dessin par rapport au texte traduit du latin :
La lecture du texte
associé au schéma est donc bien indispensable pour caractériser tous les
schémas de Léonard de Vinci. Malgré tout, ici la description associée à ce
schéma reste un peu trop vague.
- La pince est en deux parties :
« Ce n’est pas visible sur le dessin »
- l’effort est maintenue fixe par le
mécanisme : Effectivement un engrenage roue-vis sans fin à bien la
particularité d’être irréversible.
Heureusement l’étude du
mécanisme ce trouve sur la page suivante du manuscrit.
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