mardi 3 janvier 2017

Conclusion

Conclusion :

De la lecture en italienne, il en ressort une  philosophie entre le corps et l’âme. Mais surtout sur la sagesse des hommes.
Cependant ce qui pourrait être une philosophie réfléchie n’est en fin de compte qu’une réflexion opportuniste commander par l’impérativité de décrire la pince à cils. Quoique nous retrouvons cette philosophie dans l’homme de Vitruve.


Cependant il est réaliste d’observer que l’âme peu être blessé d’une douleur suprême. Et la sagesse est forgée par l’expérience.

(Masque de 1569) - https://fr.pinterest.com

Ce que l’on dit  actuellement de cet instrument :

Il s’agit d’une supputation n’apportant rien de spécialement innovant et voir fausse dans la description du mécanisme.


a penna di un divaricatore a due leve a cui è sovrapposto un abbozzo di  griglia rettangolare, che reca nella suddivisione rettangolare minore: 1/8 nella maggiore : 8/8 più in basso è disegnata un'intera griglia rettangolare a otto suddivisioni, quattro superiori e quattro inferiori.

Dessin à la plume d'un écarteur à deux leviers à laquelle un croquis de la grille rectangulaire est superposée, qui porte dans la subdivision inférieure rectangulaire: 1/8 plus: 8/8 vers le bas plus est tiré d'une grille rectangulaire entière à huit subdivisions, quatre supérieure et inférieure de quatre.

Critique du dessin par rapport au texte traduit du latin :

La lecture du texte associé au schéma est donc bien indispensable pour caractériser tous les schémas de Léonard de Vinci. Malgré tout, ici la description associée à ce schéma reste un peu trop vague.

- La pince est en deux parties : « Ce n’est pas visible sur le dessin »

- l’effort est maintenue fixe par le mécanisme : Effectivement un engrenage roue-vis sans fin à bien la particularité d’être irréversible.


Heureusement l’étude du mécanisme ce trouve sur la page suivante du manuscrit.

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